Formation et parcours : Après des premiers pas en tant que coloriste et illustrateur pour la presse enfantine, il part sillonner l’Europe à 20 ans, et s’exile en France en 1986. A Paris, il frappe alors à la porte de Pif Gadget, qui prépare un numéro sur l’Amérique Latine et publie ses planches. Le Journal de Mickey fera de même, ainsi que L’Echo des Savanes avec la série « Vieille, moche et méchante » (éditée en recueil chez Albin Michel).
Jose Cuneo continue ses travaux d’illustrateur, peint des tableaux ainsi que des petits théâtres de carton en trois dimensions, les boîtes lumineuses. En 2012, l’Ambassade d’Argentine consacre l’exposition « Lumières argentines » aux boîtes lumineuses dans lesquelles José Cuneo recrée l’ambiance des rues de Buenos Aires. Ce travail décide Alfredo Arias, à lui commander la scénographie de la comédie en chansons « El Tigre », montée au Théâtre du Rond Point le 17 décembre 2013. Leur collaboration se prolonge en dessins dans un livre graphique tout en noir et blanc, paru aux éditions des Contrebandiers, qui rompt avec l’esprit totalement coloré du spectacle et qui met en lumière les multiples talents de José Cuneo.
José Cuneo a animé également des stages de Bandes Dessinées au Centre d’animation Clavel (75019), au Centre d’animation Mathis (75019), au Centre d’animation Louis Lumière (75020) et au Centre d’animation Maurice Ravel (75012), de septembre 2005 à novembre 2010.
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Formation : Né à Buenos Aires, Adrian Doura vit en France depuis 1982. Il obtient un diplôme de sculpture en 1989 à l’Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts de Paris où il étudie sous la Direction de Tony Grand.
Parcours : Après un long parcours de productions d’œuvres et installations non figuratives, conceptuelles et d’assemblage, il travaille sur le paysage à partir de 1993. Il développe dans une technique traditionnelle à l’huile le « Réalisme Magique » qui réactive, par le biais des images peintes, les émotions produites par le réel et gardées en mémoire par le spectateur.
Il reçoit en 1998 une bourse de la Fondation Yves Saint-Laurent Couture qui achète une de ses peintures. Il continue de peindre et de voyager à travers le monde, source inépuisable de son inspiration. En 1998, il obtient une résidence au World Trade Center avec Triangle Artist’s Workshop et de nouveau l’année suivante...
« La ville, greffée dans la topographie originelle, est l’œuvre et le théâtre de l’homme, de ses drames et de ses joies quotidiennes. Transcrire cette émotion d’être là, devant, dedans. »
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